Communiqué de presse de la Société Française d’Alcoologie
2 février 2018
“En mai 2017, 19 associations et acteurs de santé publique avaient tiré la sonnette d’alarme suite à la nomination à l’Elysée de l’ancienne déléguée générale de Vin et Société, Audrey Bourolleau. Ils alertaient sur le risque de conflits d’intérêts qui pourraient survenir au détriment de la santé publique.
Huit mois plus tard, ce risque est confirmé alors que la filière vin se félicite du rôle joué par l’ex-lobbyiste pour aider la filière à obtenir ce qu’elle “n’avait jamais obtenu précédemment” (…)”